05/11/05
L’appel de l’agence spécialisée de l’ONU, la
FAO (Food and Agriculture Organization), relayé en France par sos-usagers,
entre autres, reste sans écho.
Pourtant, Jacques Diouf, directeur général de la FAO le répète
: « Nous ne pouvons pas nous permettre d’attendre [l’arrivée
du virus dans nos pays] et de combattre la pandémie dans nos pharmacies
et dans nos hôpitaux. C’est dans les élevages contaminés
[d’Asie du Sud-Est] qu’il faut stopper le virus » (1)
La FAO réclame 175 millions de dollars pour tuer le virus dans l’œuf – sans jeu de mot. Elle n’en a reçu que 30.
QU’EST-CE QU’ON ATTEND ?
(1) International Herald Tribune, 3 novembre 2005, p. 2.