28/11/05
Dans le « Parisien » du 25 novembre 2005, un « étudiant
de Seine Saint-Denis » explique, sous le couvert de l’anonymat évidemment,
qu’il a « brûlé des voitures sur commande ».
Des escroqueries à l’assurance qui ont trouvé la bonne occasion
avec les violences urbaines.
Pas question bien sûr que l’énorme majorité de «
vraies » victimes soient maintenant victimes de quelques escrocs qui fournissent
aux pouvoirs publics une excuse pour ne pas indemniser. Ce serait trop facile.
Or, à la suite de nos démarches en faveur d’une indemnisation
rapide et complète des automobilistes victimes des violences urbaines,
nous recevons des témoignages qui montrent que, trop souvent, les assureurs
et les pouvoirs publics ne suivent pas.
Qu’en pensez-vous ?