La région est prête à donner 10 milliards (grâce notamment à un emprunt) et demande à l'Etat de financer le reste, soit 7 milliards. Cela va être difficile pour l'Etat de refuser, puisque c'est son propre plan que la région reprend à son compte.
Méfiance, quand même. On peut craindre que, dans le cadre de cette polémique pré-électorale que j'ai dénoncée sur LCI, l'Etat cherche à noyer le poisson (et à refuser de s'engager) en lançant une contre-offensive sur le thème de la "réforme des institutions régionales" avec son projet de "Grand Paris".
Nous préparons une campagne massive de tracts sur plusieurs lignes pour qu'aucune considération subalterne et politicienne ne bloque la rénovation et l'expansion des transports en commun en Ile de France.