RSA: les banquiers et les assureurs versent des larmes de crocodile sur le sort des épargnants!
Par futsp, jeudi 28 août 2008 à 10:21 :: Politiques (France: économie) :: #73 :: rss
Les vendeurs d'assurances-vie pleurent sur le triste sort des épargnants qui vont devoir payer 1,1% du REVENU de leurs économies pour le RSA. Ils "oublient" que des centaines de milliers d'épargnants ont perdu jusquà 30 ou 50% des économies de leur vie de travail parce que des "conseillers financiers" les orientés vers des placements "voyous".
En 1999-2000, des centaines de milliers d'épargnants ont été envoyés, sans le savoir, au "casse-pipe boursier", au sommet de la bulle financière, et ont ainsi été dépouillés d'une partie plus ou moins énorme de leurs économies. On leur a notamment conseillé de faire passer leur épargne de placements sûrs, comme le livret A, sur des "assurances-vie en unités de compte", sans leur dire qu'elles étaient investies en Bourse, par exemple sur des nouvelles technologies qui se sont ensuite effondrées. Le jackpot pour les veinards qui avaient acheté ces nouvelles technologies au bon moment, les vrais spéculateurs. La ruine pour les autres, les pigeons qui les ont rachetées à travers leurs placements financiers opaques.
Même chose avec ces fameuses "monétaires dynamiques", qui, à la différence des monétaires traditionnelles, étaient passées par la case spéculation.
Nicolas Sarkozy nous a promis avant les élections d'étudier avec nous les moyens de venir en aide à ces épargnants. Le moment nous semble venu pour le Président de tenir sa promesse, qui est d'un intérêt capital pour les Français qui préparent leur retraite et donc pour leur futur pouvoir d'achat. Protéger l'épargne populaire, voilà une vraie priorité.
Même chose avec ces fameuses "monétaires dynamiques", qui, à la différence des monétaires traditionnelles, étaient passées par la case spéculation.
Nicolas Sarkozy nous a promis avant les élections d'étudier avec nous les moyens de venir en aide à ces épargnants. Le moment nous semble venu pour le Président de tenir sa promesse, qui est d'un intérêt capital pour les Français qui préparent leur retraite et donc pour leur futur pouvoir d'achat. Protéger l'épargne populaire, voilà une vraie priorité.
Commentaires
1. Le jeudi 28 août 2008 à 12:48, par Delarue
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