En la circonstance, il s'agirait d'un "droit de retrait" consécutif à une agression. Réaction compréhensible, mais qui piège sur leur lieu de travail des usagers qui ne sont en rien responsables de l'agression. Moi-même, j'ai reçu un coup de poing au visage il y a quelques années dans cette même gare Saint-Lazare, donc les agressions, je connais un peu.

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