Le sénateur Marini a lui-même admis que son amendement pouvait être "ajusté". C'est sûr. En particulier s'il avait intègré non seulement ceux qui ont joué en Bourse, mais aussi et surtout les épargnants qui ont été trompés par les banques et les assurances. Notre argument a été repris par François Fillon qui a regretté que M. Marini crée une discrimination à l'égard de ceux qui ont acheté des actions via un Plan d'entreprise ou une assurance-vie.

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