Sur notre site www.sos-bizutage.com , nous retraçons l'histoire de notre combat contre ces pratiques aujourd'hui condamnées par l'immense majorité des Français et interdites par la loi.
Mais ce n'est pas parce qu'une loi a été votée qu'elle s'applique instantanément. Loin de là. Nous poursuivons donc la lutte et nous mettons en garde les jeunes qui seraient tentés d'accepter d'y participer, d'autant que les bizutages ne s'appellent plus "bizutages", mais se camouflent sous des étiquettes anodines du genre "week-end d'intégration".
Cette année, nous avons décidé de frapper plus fort et de dire aux futurs étudiants qu'ils auraient tort de croire que le bizutage n'est qu'un mauvais moment à passer, et qu'après, tout est oublié.
Il reste les photos et les vidéos. Ce n'est pas nouveau. Déjà, dans les années 90, un de nos adhérents avait acheté la K7 d'un bizutage de médecine avec un strip-tease mis en scène devant une meute hurlante (de futurs médecins...). K7 que le "BDE" avait eu l'imbécillité de nous vendre.
Elle est passée par nos soins au JT de 20 h de TF1 (merci, PPDA!); mais bien sûr, le visage des victimes avait été "flouté".
Depuis, on n'a pas arrêté le progrès, et les vidéos se retrouvent à la vitesse de l'éclair sur Internet. La honte assurée pour les bizuts et notamment les bizutes dont le fiancé, le patron éventuel, la "copine qui lui veut du bien" et les voisins de palier verront les exhibitions, certes en différé, sur leur ordinateur.
Pour en savoir plus, consultez notre site www.sos-bizutage.com , envoyez-nous un mail ou téléphonez-nous au n° mis en place pour cette campagne: 0660 294376.