FUTSP

La SNCF et la RATP réduisent le service pendant l'été. Problème pour les usagers qui restent, et pour les touristes qui prennent, eux aussi, les transports en commun. D'où des rames ou des bus souvent pleins à ras bord à un moment où on pourrait espérer être plus à l'aise dans les transports.

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Les trois accidents survenus dimanche 27 juillet sur des passages à niveau remettent en question la politique de RFF (Réseau ferré de France) qui gère les voies ex-SNCF depuis dix ans et qui a réduit de 80% le nombre de passages à niveau supprimés chaque année par rapport aux dix années qui ont précédé l'éclatement de ce qui était alors un service public.

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Des morts, des blessés dimanche 27 juillet sur des passages à niveau, dans l'Ariège, la Manche et l'Isère. On va encore mettre en cause la responsabilité des victimes. C'est peut-être le cas pour certains conducteurs. ET LA RESPONSABILITE DE RFF, Réseau Ferré de France? Parlons-en.

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Comme chaque année, SOS BIZUTAGE, section de la FUT-SP, lance sa campagne de prévention du bizutage. Comme l'an dernier, nous mettons en garde les étudiants et les étudiantes contre les pseudo WEEK-ENDS D'INTEGRATION qui sont trop souvent de VRAIS BIZUTAGES. Et ne pas oublier qu'une fois le bizutage passé, les photos et les vidéos restent et se retrouvent même souvent sur Internet. Cinq ans, dix ans après, elles ne seront toujours pas effacées.On n'arrête pas le progrès.

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Ainsi, quand le gouvernement a vu que les tribunaux de la République n'arrivaient pas à donner raison à Bernard Tapie face à sa banque, il a transmis le dossier à un tribunal d'arbitrage.

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Le Président de la FUTSP - SOS Petits Porteurs a participé jeudi 17 juillet au débat sur France Inter consacré à la régulation des marchés financiers.
L'émission "Cha cha Tchache" peut être écoutée durant une semaine sur le site de France Inter (cliquez ici pour écouter).
Thierry Ottaviani a rappelé que le problème n'était pas essentiellement un problème de régulation (assurée par les banques centrales et par les Etats), mais aussi de contrôle, notamment celui de l'Autorité des marchés financiers (AMF).
Deux autres invités participaient au débat: Dominique Plihon (économiste et président du conseil scientifique de l'association Attac) et Jean-Hervé Lorenzi (président du cercle des économistes, conseiller du directoire de La Compagnie financière Edmond de Rothschild).

Thierry Ottaviani est passé également le lundi 7 juillet sur radio jazz TSF au sujet des propos tenus par Nicolas Sarkozy sur les "grèves indolores".
Mercredi 9 juillet, la matinale de France Inter a diffusé une interview concernant la mise en place de caméras de vidéosurveillance sur les rames des RER C et D.
Interview également sur Europe 1, le 2 juillet dernier à propos de l'incident sur le RER E (plusieurs centaines de personnes bloquées dans un tunnel pendant près de 45 minutes le 1er juillet).

Le STIF devrait annoncer jeudi 9 juillet la mise en place de caméras de vidéosurveillance sur les lignes C et D du RER.

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Delarue est intervenu ce matin en direct sur RMC, et doit le faire ce soir sur Europe 1 (+ une interview à l'AFP) à propos des déclarations de Nicolas Sarkozy pour qui: "désormais, quand il y a une grève en France, personne ne s'en aperçoit".
Provocation ou non? Nous craignons en tout cas les réactions de nombreux employés des services publics qui pourraient décider de se joindre à une grève pour démentir les propos du président. Si l'automne est "chaud", les Français sauront qui ils doivent remercier.
Cela dit, si les grèves des transports sont indolores, c'est surtout pour ceux qui ne prennent pas le train! Les usagers des RER A, B ou D, et de tant d'autres lignes de banlieue, sont déjà "serrés comme des sardines" (dixit Nicolas Sarkozy) en temps normal et même une grève de 20 ou 30% des conducteurs a pour eux des conséquences catastrophiques.
D'autre part, il faut se rappeler que le nombre de jours de grève a beaucoup diminué depuis des années, par exemple à la RATP où la mise en place de l'"alarme sociale" a permis de prévenir beaucoup de conflits. Nicolas Sarkozy n'y est pour rien, c'est une évolution qui a commencé bien avant lui.
Ce qui a changé depuis son élection, en revanche, c'est la loi votée l'an dernier qui oblige les grévistes à se déclarer comme tels 48 heures avant la grève, ce qui permet à l'entreprise de mieux prévoir l'organisation du service.
Rien à voir, entre parenthèses, avec le fameux "service minimum" promis par Nicolas Sarkozy avant les élections et qui prévoyait un service complet trois heures le matin et trois heures le soir, donc l'interdiction de faire grève aux heures de pointe.
Quoi qu'il en soit, il faut dire et répéter que les problèmes des usagers des transports ne s'arrêtent pas quand la grève se termine. C'est tous les jours que les trains utilisés par "ceux qui se lèvent tôt pour aller travailler" ont des pannes, des retards, des incidents techniques ou sont carrément annulés. Nicolas Sarkozy vient de le découvrir, nous espérons seulement qu'il ne l'oubliera pas.

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué? Et pourquoi ne pas créer un "conflit dans le conflit" quand on peut en trouver l'occasion? On sait que les patrons routiers, FNTR (les plus gros), UNOSTRA et OTRE, multiplient les blocages et autres opérations escargot pour exiger une baisse de leurs charges face à la hausse du carburant.
Le gouvernement a trouvé la solution: POUR QUE LES PATRONS ROUTIERS GAGNENT PLUS, IL SUFFIT QUE LEURS SALARIÉS GAGNENT MOINS!

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Près de 850 personnes ont été bloquées mardi 1er juillet sur le RER E. La Fédération des usagers de transports lance un appel à témoignages.

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