Le fait que des associations de consommateurs reconnues et souvent subventionnées par les pouvoirs publics, mais qui ne représentent guère les usagers, aient opté pour cette "pratique" (pour reprendre la phraséologie de la SNCF) est sans intérêt.
La SNCF - comme les compagnies aériennes - doit rembourser les victimes de retards en espèces sonnantes et trébuchantes.
Dans le cas contraire, elle portera elle-même atteinte à son image de marque qui a déjà beaucoup souffert des pannes qui se sont multipliées sur les lignes TGV, sans même parler des trains de banlieue et des trains régionaux.