Nous recevons des réclamations d'usagers qui ont demandé en vain à leur guichet de bénéficier d'une réduction du prix de leur abonnement à la suite de la grève de décembre sur le RER A. Refus. Refus à comparer avec la large indemnisation dont ont profité - à juste titre - les victimes du blocage d'Eurostar à la même période.
Question: les centaines de milliers d'usagers quotidiens du RER, qui sont aussi pour la plupart des électeurs, sont-ils des "voyageurs de seconde zone"?