Il est paradoxal que les gouvernements successifs, qui se lamentent bruyamment sur le triste sort des usagers victimes de grèves, n'aient pas encore accepté de légaliser la "grève de la gratuité" alors que cette forme de grève épargnerait les usagers.
Il est temps qu'ils le fassent.
C'est pourquoi nous posons la question aux candidats à la présidentielle, et nous sommes heureux que Robert Ménard ait décidé quant à lui de relayer notre demande auprès des mêmes candidats.