A propos d'un téléphone portable acheté dans une boutique Orange, on n'a jamais reçu le contrat, la ligne n'a pas fonctionné, on multiplie les démarches, la boutique ne retrouve pas le contrat sur l'ordi - et pour cause - on nous réclame subitement 1500+ euros, dont près de 900 pour "rupture de contrat", on discute avec la société de recouvrement, Coface Services, et notre interlocuteur chez Orange, M.B, tous deux très aimables, on finit par apprendre qu'une dame du service d'ORANGE était prête plusieurs mois + tôt à mettre fin au contrat et à nous facturer le téléphone "nu", entre-temps devenu plutôt obsolète? Nous aurions accepté si la dame, Mme H., qui a donné cette info à notre interlocuteur d'ORANGE, nous l'avait proposé (pas de mail ni de pigeon voyageur portant un message à cet effet). Vous avez compris? Bravo!

Notre dernier mail à ORANGE remonte à novembre 2012.
Et voilà que nous recevons en octobre 2013, près d'un an après, une lettre assez vigoureuse d'une nouvelle société de recouvrement qui travaille avec/pour ORANGE, "instrum justitia" (vous connaissez?), qui nous réclame les 1500+ euros +ci + ça si on s'exécute pas.
J'ai renvoyé un mail à M.B., notre précédent interlocuteur d'ORANGE, qui m'a rappelé, toujours très aimable, comme toujours, et à qui j'exprime mon étonnement, et ma volonté d'avoir une explication franche avec les services clients et réclamations clients basés à Rouen, ça dépend des régions, et qui me donne un n° de Coface Services, auparavant chargé du recouvrement, n° qui renvoie maintenant vers un n° ORANGE. Le serpent se mord un peu la queue, non?
Prochain épisode: lundi 21/10.