Le problème est double:
1) le déséquilibre habitat-emploi qui s'aggrave inexorablement, les bureaux dans le 92 des lobbys politico-financiers, les logements dans l'Est.
2) l'état de quasi-abandon dans lequel les décideurs ont laissé le RER D depuis tant d'années.
D'où les retards quotidiens, les pannes, incidents techniques, les trains supprimés, les trains courts au lieu de longs à des heures de pointe et donc des rames bondées. Pas une seule rame climatisée, pas de rideaux pare-soleil aux fenêtres. Et la SNCF qui annule sous de curieux prétextes la pose d'ascenseurs "accessibilité" dans plusieurs gares.