L'initiative du président des Hauts de France tombe exactement au bon moment. Il est temps en effet de rechercher activement les convergences entre Français mécontents, et bien sûr pas de nous diviser.
A nous, citoyens, usagers, cheminots, élus, d'imposer à la SNCF et au gouvernement le libre choix de la forme d'expression de notre ras le bol.
Et rappelons que, dès 2007, la Cour européenne des droits de l'homme avait validé une grève des péages pratiquée par des employés d'un pont sur le Bosphore, en Turquie, donc.