Bref, ces pratiques ressemblent furieusement à celles qui subsistent malgré la loi anti-bizutages de Ségolène Royal.

Le ministre de la Santé doit intervenir avec la plus grande fermeté contre ces "voyous hospitaliers". Il en va du respect dû aux jeunes qui ont choisi de soigner les hommes et les femmes, il faut aussi stopper l'hémorragie d'élèves qui abandonnent leur formation, et par ailleurs éviter que ces pratiques nuisibles soient reproduites avec cette fois pour cibles les patients.

Sur Twitter, une de nos correspondantes liste par exemple les problèmes de santé provoques par ce harcèlement au cours d'un stage d'infirmières: "vertiges, tremblements, insomnies, perte d'appétit..".
Inadmissible. CE SCANDALE DOIT CESSER !