En Bretagne comme au Pays Basque, la grogne commence à faire place à la colère: manifestations pacifiques, graffitis sur les maisons de résidents secondaires, mobilisations d'habitants et d'élus, premières taxes sur les propriétaires de maisons vides 11 mois par an...
Nous ne sommes qu'au début d'un processus qui va opposer de plus en plus les résidents secondaires à ceux qui veulent habiter là où ils sont nés.