On opposait même la "gréviculture" de la SNCF, trop de grèves, des grèves trop longues, à la qualité du dialogue entre la RATP et ses syndicats, notamment grâce à la pratique de l'"alarme sociale". On a peine à le croire quand on voit comment l'équipe Mongin traite le conflit sur le RER A. Un coup de balai s'impose-t-il à la tête de l'entreprise, dont, rappelons-le, l'actionnaire est l'Etat? La question est posée.

Lire la suite