(CONTRE LA "FRACTURE IMMOBILIERE", et la "Pied-à-terrisation" de Paris). Juste pour prendre date.
Par futsp, samedi 5 février 2011 à 15:23 :: Politiques (France: économie) :: #400 :: rss
Les Parisiens, et d'autres, sont se plus en plus vctimes de la "FRACTURE IMMOBILIERE" qui s'élargit à une allure vertigineuse. Flambée des prix. Celle-ci est notamment alimentée par la volonté de riches étrangers d'acheter à Paris, soit pour y vivre en permanence - on peut comprendre - soit pour partager leur temps entre leur résidence sur la Côte d'Azur et la capitale, soit pout LOUER A LA SEMAINE à des touristes, ce qui est INTERDIT par la loi.
Le "Monde" l'écrivait le 17 novembre dernier: "les prix flambent à cause de la spéculation et de l'afflux de non-Parisiens qui sont prêts à PAYER AU PRIX-FORT UN PIED-A-TERRE".
Beaucoup plus précis, le quotidien "The International Herald Tribune" du 7 juillet 2010 titrait: "Paris pied-à-terre for rent; fines ( = amendes) optional". Il est interdit de louer pour moins de 12 mois- 9 mois si le locataire est un étudiant - sous peine d'une amende qui peut s'élever à 25000 euros avec une astreinte de 1000 euros par jour.
Inutile de dire qu'un propriétaire gagne BEAUCOUP PLUS en louant à la semaine que sur un an. Ce faisant, il raréfie le parc locatif disponible, et contribue à faire grimper les prix pour les vrais locataires.
Nous en reparlerons. En attendant, noter que le service de la Mairie de Paris chargé de réprimer ces pratiques illégales s'appelle le "Bureau de la Protection des Locaux d'Habitation".
Beaucoup plus précis, le quotidien "The International Herald Tribune" du 7 juillet 2010 titrait: "Paris pied-à-terre for rent; fines ( = amendes) optional". Il est interdit de louer pour moins de 12 mois- 9 mois si le locataire est un étudiant - sous peine d'une amende qui peut s'élever à 25000 euros avec une astreinte de 1000 euros par jour.
Inutile de dire qu'un propriétaire gagne BEAUCOUP PLUS en louant à la semaine que sur un an. Ce faisant, il raréfie le parc locatif disponible, et contribue à faire grimper les prix pour les vrais locataires.
Nous en reparlerons. En attendant, noter que le service de la Mairie de Paris chargé de réprimer ces pratiques illégales s'appelle le "Bureau de la Protection des Locaux d'Habitation".
Commentaires
1. Le vendredi 11 février 2011 à 16:43, par futsp
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