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Commentaires

1. Le jeudi 4 juillet 2013 à 21:20, par Jean Louis Roura

Quoi de neuf sur l'interconnexion à Nanterre Préfecture?

Le RER A attendu ce matin à 8 h 15 est arrivé à 8 h 21 en gare de Houilles-Carrières sur Seine. Il s’est arrêté dans le tunnel à l’entrée de Nanterre Préfecture parce qu’un train était stationné dans cette gare, selon le communiqué du conducteur SNCF. Fallait-il comprendre que le conducteur RATP ne s’était pas présenté à son poste à l’heure prévue ? En tout état de cause, « mon » RER est reparti de Nanterre Préfecture à 8 h 40 en direction de La Défense, et donc très loin des deux minutes affichées sur les horaires officiels. Et une nouvelle fois, à cause d’une situation corporatiste enrobée d’un manque de volonté politique pour résoudre un archaïsme, je suis arrivé en retard au bureau. Mais, en fait, c’est aux employeurs de payer de type de dysfonctionnement ? Ou est-ce que cette misérable gestion va encore se répercuter sur la prochaine hausse des tarifs avec sa ponctualité estivale habituelle ? A mille ou deux mille voyageurs, selon les rames, cela représente un nombre important d’heures de perdues et un manque à gagner considérable pour les entreprises, surtout lorsque ce type d'incident est récurrent. Il est plus que temps que le « politique » prenne ses responsabilités.

2. Le vendredi 5 juillet 2013 à 22:28, par BELLET

Je pense malheusement qu'aucune amélioration ne verra le jour. Comme je l'avais mentionné dans mon précédent commentaire , pour que les politiques et la STIF réagissent il faut que des actions plus musclées des voyageurs comme le non paiement du titre de transport. Toutes autres démarches n'aboutiront à aucun changement. Je rappelle que les problémes sur la ligne A du RER remontent maintenant à 5 Ans. La plaisanterie de deux conducteurs ( SNCF et RATP ) avait été relevé par une commission du sénat , sans résultat .Les politiques comme d,habitude avec le courage qu'on leur connait ne feront aucune pression sur la SNCF et la RATP pour un conducteur unique. La STIF n'a aucune intention d'améliorer la ligne de Poissy, ce n'est pas leur priorité.

3. Le jeudi 11 juillet 2013 à 07:29, par Jean Louis Roura

« Jusqu’à quand enfin abuseras-tu de notre patience ? ». Cette question formulée il y a plus de deux mille ans par un homme d’Etat romain est toujours d’actualité concernant la gestion calamiteuse de la ligne A du RER, dans sa branche de Poissy, et plus particulièrement pour l’interconnexion à Nanterre Préfecture en ce mercredi 10 juillet. Le RER de 8 h 05 est arrivé ce matin à 8 h 11 à la gare de Houilles-Carrières sur Seine pour ensuite stationner un bon moment devant l’entrée du tunnel de la gare de Nanterre Préfecture, en direction de Paris. Il était au quai de la dite gare à 8 h 30 (pour mémoire, le temps de trajet officiel est de 2 minutes). Selon l’annonce faite par le conducteur SNCF dans ce tronçon relevant de sa compétence, la rame de devant attendait le conducteur RATP ( )« Mon RER » est arrivé à la gare de Lyon à 8 h 48. Dire que la suppression de cette interconnexion n’apportera aucun gain de temps sur le trajet, comme le laisse entendre le rapport commandé par le Stif, constitue une affirmation hautement démagogique et irresponsable, d’autant plus que ce type d’incident constitue de plus en plus la règle normale que connaissent les voyageurs au quotidien et non pas l’exception regrettable qui se produit à chaque centenaire. L’écrivain romain avait poursuivi sa plaidoirie par deux autres questions qui restent plus que jamais d’actualité face à ce silence assourdissant du Stif. Nous savons comment la vieille affaire s’était terminée ; l’histoire pourrait se renouveler si nous continuons à être baladés de manière effrontée au lieu d’être transportés comme des citoyens dignes d’un service public de qualité.

4. Le jeudi 11 juillet 2013 à 21:32, par Jean Louis Roura

« Suite à une avarie de matériel sur un train en gare de Houilles-Carrières su Seine le trafic est perturbé sur la ligne L et sur la ligne A du RER Cergy et Poissy. Des retards de 15 à 20 minutes, ainsi que des suppressions des trains, sont à prévoir jusqu’à 9 h ». Voici, en substance, ce qui était diffusé en boucle par les haut-parleurs ce matin et ce que j’ai entendu entre 7 h 58 et 8 h 03, heure d’arrivée du RER prévu à 7 h 55 en provenance de Poissy. Les nombreux voyageurs, comme moi, qui attendaient sur les quais de pouvoir prendre un éventuel train en direction de Paris sont restés interloqués : il n’y avait aucun train en panne à la gare de Houilles-Carrières sur Seine. Que veut-on justifier par cette "inexactitude" caractérisée ? Les trains qui vont être supprimés à l’heure de la plus forte affluence pour des raisons que l’on n’ose pas avouer ? Ce n’est pas la première fois que je suis confronté à ce type de pratique. Déjà, le 28 février dernier, j’avais écrit à JP Huchon : « Les annonces faites sur les causes de cette absence de transport étaient différentes selon que l’on se trouvait à la gare de Houilles Carrières sur Seine, à la gare de Paris Saint Lazare ou sur la ligne de métro numéro 14 ; la vérité est probablement à chercher ailleurs ». Rien de nouveau depuis ; mais cette pratique de l'"information" inexacte dans des sociétés nationales doit être éradiquée et les responsables de la mise en œuvre de ces pratiques écartés. Il s’agit de morale politique, si cela a encore un sens pour certains, et de l’argent des contribuables ! Or, ce bon début de journée a eu son moment de gloriole quotidien à l’interconnexion de la gare de Nanterre Préfecture. L’annonce faite par le conducteur, que le RER qui venait de stationner sur le quai d’à côté partirait avant, a provoqué un transbordement immédiat des passagers, au point que la vieille rame bondée en provenance de Poissy s’est presque entièrement vidée au profit de celle à deux étages en provenance de Saint Germain. Les voyageurs, qui comme moi sont restés espérant que le RER repartirait à la suite, ont eu le plaisir de contempler le passage d’un autre RER en provenance de Saint Germain sans marquer l’arrêt à l’interconnexion. Et enfin, « mon RER » est reparti à 8 h 19 pour arriver à la gare de Lyon à 8 h 36. Les faits sont là et ils montrent au quotidien l’absurdité de cette interconnexion et le manque de respect pour les voyageurs de la branche de Poissy. Dans la description de l’incident quotidien d’hier, j’ai fait référence à la première question de la plaidoirie d’un auteur romain ; la deuxième de son exorde est toujours d’actualité : « combien de temps ta folie nous défiera-t-elle ? ».

5. Le vendredi 12 juillet 2013 à 12:10, par Ovillois

Il faudrait ajouter aux revendication ce point très précis, un problème déjà maintes fois signalé au STIF qui pour l'instant fait la sourde oreille : à Houilles et Maisons-Laffitte le matin vers Paris, il y a un trou de desserte de 20 minutes sans aucun RER entre 9h05 et 9h25 (-5 minutes pour ML), avec dans ce laps de temps deux trains en provenance de Cergy qui passent sans s'arrêter bien que complètement vides.

C'est un véritable calvaire de prendre le RER à cette heure là, d'autant plus que le 9h25 est souvent retardé, laissant parfois 30 minutes sans qu'aucun RER ne s'arrête !!

Il faut agir et faire desservir Houilles et ML par ces deux trains vides en provenance de Cergy.

6. Le lundi 22 juillet 2013 à 22:21, par Jean Louis Roura

C’est probablement en prévision des fortes chaleurs de la journée que les rails ont dû se dilater très tôt ce matin car le RER en provenance de Poissy est arrivé à 8 h 25. Aucune indication n’était donnée sur les écrans concernant une suppression, retard ou problème sur le RER A ligne de Poissy ce lundi 22 juillet. Au vu du monde qui attendait sur le quai, on pouvait en déduire que celui de 8 h 05 et celui de 8 h 15 ne sont pas arrivés jusqu’à la gare de Houilles-Carrières sur Seine, probablement déjà évaporés en prévision des fortes chaleurs de la journée. Cette absence de transport n’est pas exceptionnelle dans cette gare, pas plus que le rituel qui accompagne l’arrivée du RER tant espéré : une vielle rame à un seul niveau déjà bondée, une partie des voyageurs qui reste sur le quai faute de pouvoir monter … Donc, pour les voyageurs de la gare de Houilles-Carrières sur Seine, il n’y a même pas de répit en plein mois de juillet. Ainsi, pendant une bonne vingtaine de minutes, sur le quai, nous avons vu passer des trains qui ne marquent pas l’arrêt, ce qui n’est pas rare dans notre gare, et qui laisse croire que l’abonnement réellement payé ne l’est que pour des transports publics virtuels. Le retour n'a pas été mieux ce soir pour certains voyageurs qui sont restés sur le quai à la Défense et à Houilles-Carrières sur Seine à cause de la fermeture des portes des RER compte tenu du temps d'arrêt que le RER doit marquer en gare. Alors, il convient, une fois de plus, de se demander si la ligne A du RER branche de Poissy est gérée réellement de manière professionnelle et non discriminatoire.

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