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Commentaires

1. Le jeudi 1 août 2013 à 19:37, par Jean Louis Roura

Le premier jour du mois d’août s’est situé dans la continuité des derniers inénarrables jours de juillet en ce qui concerne les transports publics à la gare de Houilles-Carrières sur Seine : absence de RER jusqu’aux environs de 8 h 20 le matin en direction de Paris ; soit une attente de 20 à 30 minutes tous les matins, que les voyageurs occupent, médusés, à regarder passer les trains qui ne s’arrêtent pas. Et la bonne tradition matinale se poursuit avec l’arrivée d’une vieille rame déjà bondée, comme ce matin, etc. Ceci est un rappel très fâcheux pour tous ceux qui viennent de renouveler leur abonnement mensuel !! Au fil du temps qui passe, il est regrettable de constater que les 36500 voyageurs quotidiens, qui empruntent les transports publics aux gares de Houilles-Carrières sur Seine et de Maisons Laffitte, n’intéressent guère nos transporteurs nationaux. Et, compte tenu des conditions dans lesquelles ces voyageurs sont transportés, il est légitime de se poser la question de savoir si ces sociétés nationales ne confondent pas transport de personnes et transport de fret. A se demander même si la branche de Poissy ne constitue pas un « no RER’s land » au-delà de La Défense tellement est stupéfiante l’évaporation dans les chaleurs matinales des RER en provenance de Poissy; le soir, après avoir roulé dans un parcours virtuel, la plupart des RER sont terminus La Défense ce qui, dans ce cas, porte le temps de trajet entre la gare de Lyon et la gare de Houilles-Carrières sur Seine à environ une heure (comme le lundi 29 juillet à 16 h). Cette situation de mépris et de discrimination caractérisés à l’égard des 36500 voyageurs quotidiens n’est plus acceptable. Il est plus que temps que le STIF prenne son entière responsabilité dans cette affaire et que tous ces gestionnaires illusionnistes de la branche de Poissy cessent de rester sourds aux milliers de plaintes quotidiennes. A défaut, la rentrée pourrait être très fortement orageuse.

2. Le mardi 6 août 2013 à 23:03, par Jean Louis Roura

Décidemment, la banalité quotidienne sur la ligne A du RER branche de Poissy, déjà connue du reste de l’année, est aussi de mise au mois d’août. Voici que, aujourd’hui à la gare de Lyon, après avoir vu passer trois RER en direction de Rueil (à cause des travaux, ils ne vont pas jusqu’à Saint Germain) « mon » RER en direction de Poissy est arrivé. Une fois à la gare de La Défense, il a stationné une dizaine de minutes à 18 h 45 parce que le conducteur du train qui le précédait visiblement n’était pas encore rentré de « Paris plage ». En plus, nous avons dû attendre qu’un autre RER en direction de Rueil nous « double » à la gare de La Défense sur un autre quai et, seulement après, « mon » RER a été autorisé à se rendre dans cette aberration que constitue l’interconnexion de Nanterre Préfecture où, rituel oblige, le RER a encore stationné plusieurs minutes. Résultat, un jour normal, à une heure normale, avec une population normale pour un jour d’été, le trajet a duré quinze minutes de plus. C’est vrai que lorsque le Stif dit que tous les indicateurs des tableaux de bord sont au vert, que la SNCF s’occupe des trains à Las Vegas et que la RATP exporte son modèle de métro en Afrique du Nord, tous ces petits désagréments subis quotidiennement par les voyageurs de la ligne A du RER et qui ne méritent aucune attention au point qu’ils sont passés sous silence pourraient devenir très bientôt assourdissants.

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