C'est la question que nous allons poser aux patrons de la RATP. Nous avons besoin de bus plus fréquents, à des intervalles plus réguliers, où on arrive à respirer, notamment à certaines heures de la journée et le samedi soir, et à des annonces sur les écrans aux arrêts de bus qui ne soient pas fantaisistes.
Bref, nous disons que nous avons droit à un service public. Pas à un "sévice public".
J'ai annoncé ce soir dans le bus que nous allions lancer cette action groupée pour obtenir - le plus tôt sera le mieux - une amélioration décisive de nos conditions de transport.
S'il faut mobiliser les victimes - les "usagés" - du bus 96, mégaphone au poing, on le fera.