Une chose est certaine en tout cas: il ne sert à rien d'envoyer des lettres ou des pétitions à la SNCF, à la Région ou à l'Etat, ou de participer à de "pseudo-concertations". Seul compte le rapport de forces, notamment le mouvement de désobéissance civile qui gagne progressivement les usagers des lignes SNCF, TGV, TER et bientôt la banlieue parisienne (qui regroupe 60% de tous les usagers de la SNCF). Sans oublier que les usagers en colère sont aussi des électeurs. A un an des élections, personne n'a intérêt à l'oublier.